Thierry Leduc

Gentillesse, altruisme, humour, curiosité, sensibilité, pudeur, voilà une partie des qualités qui te caractérisaient.

Gentil, parce-que tu savais toujours être bienveillant et sympathique envers Autrui.
Au premier abord, on apercevait ta bonhomie souriante qui se caractérisait par un sourire franc et pur.

Altruiste, parce-que tu savais te montrer toujours serviable et tu te souciais du bien de chacun d’une manière totalement désintéressée.

Drôle, parce-que tu laissais apparaitre un humour subtil et réfléchi qui avait le don de faire rire les personnes qui t’entouraient.

Curieux, parce-que tu t’intéressais à de nombreux sujets, notamment tout ce qui touchait aux sciences. Tu savais captiver les gens lorsque tu partageais avec eux sur un thème qui te passionnait.

Sensible, parce-que ton cœur avait l’aptitude de s’émouvoir très facilement et que tu peinais beaucoup à cacher tes larmes une fois que les émotions te submergeaient.

Pudique, parce-que tu n’exprimais pas souvent tes réels sentiments et tu gardais de nombreuses choses pour toi-même.

Cet ensemble de qualités a fait que ta vie a été pleinement réussie.

Tu m’as offert tout ce qu’un enfant peut demander, ce qui m’a permis de devenir ce que je suis et j’en suis fière.
Les valeurs que tu as su si bien me transmettre, je m’appliquerais à mon tour à les inculquer à mon fils.

Aujourd’hui, j’ai perdu un père formidable.
Il y a un immense vide dans mon cœur et dans mon être.
Il me manque une partie de moi.

Je n’étais pas prête à vivre sans toi.
Je pensais avoir encore le temps de te dire à quel point je t’aime, à quel point tu comptes pour moi.
J’aimerais retourner en arrière pour revivre encore et encore ces moments passés avec toi.

Aujourd’hui, je dois vivre et me battre avec force pour toi.
J’espère que d’où tu es, tu es fier de moi.
Merci pour tout ce que tu m’as apporté.
Je t’aime papa, repose en paix.
 

C était un collègue discret mais très apprécié par tous
 

Je vous souhaite tout le courage possible pour surmonter votre chagrin; il n'y a aucun remède à part le temps et la certitude de l'avoir accompagné au mieux jusqu'au bout, ce qui est une certitude. Et puis il y a la mémoire...  il restera dans la mienne.  Le souvenir de tous ces bons moments au Studio, sa gentillesse, son sourire, spn sens de l'humour.....  Aurelie et Claudette,  je vous embrasse bien fort.

Trop de peine, trop d'injustice, Thierry, au fond de mon coeur pour exprimer mon ressenti en ces moments douloureux, où aucun mot ne suffirait...
Non, je vais choisir la communication directe avec Claudette, Aurélie, Julien et Noam...
J'ai juste envie, ce soir, de relater les bons moments que j'ai partagés avec tata Lucette et toi qui avait 9 ans et moi 14, à la Bourboule durant ta cure. Je t'y accompagnais tous les matins, pendant que tata nous concoctait le petit repas de midi. A telle heure, il fallait que je dise dans un haut parleur : "Thierry Leduc, au bain de pieds... tu sortais du bain de vapeur et, obéissant, (je surveillais à travers un hublot) tu allais faire trempette... Plusieurs années après, quand je venais à Arnouville, je ne disais plus "Thierry Leduc au bain de pieds", mais c'est toi qui nous disais à tous : "allez, à l'apéritif..." et Claudette, après nous avoir préparé un bon petit repas, que dis-je un succulent grand repas nous disait "A table..". et là, tu nous parlais souvent, très souvent d'Aurélie, les yeux brillants de fierté et d'amour, de son très beau parcours au Lycée, de ses super performances artistiques corporelles (claquettes, danse moderne, hip hop)... je confirme... pour y avoir assister. 
Tous ces moments, tous ces souvenirs (et j'en ai encore tout plein en réserve dans mon esprit), je les ai dans mon coeur, à tout jamais, Thierry.... ton sourire, ton humour, ton calme, ta bienveillance... ta joie de vivre...
Ma peine est profonde...
Et toi, Thierry, qui t'est arrêté sur le bord du chemin, tu n'as pas fini de nous manquer...
Jacqueline Monot, ta cousine germaine.