Peggy Degomme

On se dit toujours qu'on n'aura le temps de le faire plus tard (un appel, un message, un anniversaire à ne pas oublier ...) et puis la vie (ou plutôt la mort) nous rappelle son caractère éphémère. Tu étais une belle personne et une belle femme et tu as tracé le chemin à suivre pour tes filles. Repose en paix et sois assurée que tu resteras toujours dans mes pensées. Chloé et Julie-Anne je vous présente toutes mes condoléances et serai toujours accessible et disponible pour vous en cas de besoin.

Ma très chère Peggy C'est avec une infinie tristesse que nous avons appris que tu nous avais quittés. La maladie nous auras séparées après plus de 30 ans d'amitié. Nos chemins se sont croisés au lycée, et bien que très différentes l'une de l'autre, ça a tout de suite matché entre nous. Nous avons partagé joies et peines pendant toutes ces années et c'était toujours avec beaucoup de plaisir que l'on se revoyais. Je garde au fond de moi ton rire et ton sourire à jamais. Courage à tes filles sur lesquelles tu continueras à veiller depuis ton nouveau monde.

Chère Chloé, chère Julie-Anne, nous vous envoyons toutes nos condoléances. Votre maman était une femme forte tout comme vous l’êtes. Une vraie combattante avec un grand sourire à chaque fois que nous la croisons dans la rue. Nous vous embrassons de tout notre cœur. Gareth et Mélanie.

Chloe, Julie-Anne, Nous avons appris avec grande tristesse pour le décès de votre maman. Je ne peux imaginer tout le chagrin que vous traversez vous et votre grand père. Peggy était un vrai soleil quand on se croisait à l'école il y a 15 ans ou même durant la maladie il y a quelques mois. Nous pensons fort à vous. N'hésitez pas à venir sonner au 45 en cas de besoin, la porte sera toujours ouverte. Laurant et sa maman

Peggy, A la croisée d’un chemin, à l’avant d’une voiture, à l’étage d’une maison familière, sur une table à manger ou dans un canapé, à l’entrée, tout sourire, j’ai pu t’apercevoir, te saluer, te remercier. Je n’ai su voir que ton sourire, jusqu’à tard, j’ai dénié que la maladie était le seul défaut d’un tableau parfait du trio familial dont j’avais le plaisir d’être témoin. Pour avoir porté, élevé et tout donné aux deux merveilleuses jeunes femmes que j’ai le plaisir d’avoir dans ma vie, je te remercie. A ces deux merveilleuses jeunes femmes, Julie-Anne, Chloé, je pense à vous très fort, vous êtes non seulement incroyablement forte mais aussi deux femmes et amies fabuleuses que je ne peux qu'épauler dans cette épreuve dont je ne peux qu'imaginer la peine. Il n'y a pas un jour sans que je n'ai une pensée pour vous. Je vous aime fort.

A Peggy. Nous nous souviendrons de ta gentillesse, de tes sourires et surtout de ton rire bien à toi, de nos moments partagés à Bois d'Arcy, La Turballe ou en Bretagne à parler, discuter et toujours qui se finissaient dans de grands éclats de rire. Nous pensons à tes deux filles complices et attentionnées. Chloé,Juju d énormes bisous.