Louis DULAC

Adieu papa, adieu le père. Que penser lorsqu'un fils perd son papa ?
Au moins se raccrocher à tous les souvenirs, se rappeler tous les moments vécus, tous ces échanges et jeter un vrai coup d'oeil dans le rétroviseur du passé...
Viennent en cascade tous ces moments de vie alimentés de découvertes, de bêtises, parfois de tendresse vécues lors de la petite enfance.
S'en suivent les années ado puis l'entrée dans la cour des grands, l'âge adulte qui sonne la fin des enfances.
S'enchaînent alors dans le temps les naissances des enfants et petits enfants que tu as connus et gâtés.
Mais aujourd'hui, ces instants de partage sont terminés : tu es parti, te dirigeant vers un autre Orient.
Adieu papa, tu demeureras présent dans mes pensées.

Cher grand père,
Ce dernier message ne reflétera jamais la vie que tu as partagé avec nous. Je ne puis que garder un caleidoscope de bons moments qui forment une partie de la vie bien remplie que tu as menée.

Une partie de carte à Noël où tu m’as sortie ton quatrième carré à la coinche avec un sourire des plus malicieux. Une venue chez nous pour partager un moment chaleureux avec ta famille. Une remontrance sérieuse qui se voulait pleine de leçon de vie.

Ce sont ces moments simples qui pourtant plus importants que tous, me manqueront maintenant à jamais et que j’ai eu la chance de vivre grâce à toi. Même de l’autre côté de la terre tes histoire t’auront dépeint et te survivront certainement à travers les récits d’inconnus pour toi que tu aura pourtant marqué d’une façon.

J’aurai aimé partager plus et plus longtemps avec toi mais le temps à fait son œuvre comme il le fait toujours. Le souvenir d’un vieil homme courbé qui avait du mal à marcher mais essayait encore de le cacher ne peux que me rappeler que vieillir se mérite. Ces douleurs ne sont que le reflets d’une vie pleine de mouvements.

J’aime à espérer que tu ai pû trouver une paix véritable à laquelle nous aspirons tous.

Merci.

Recevez, chers amis, nos sincères condoléances. Gardez en mémoire tous les bons moments que vous avez partagés avec Louis, ces souvenirs vous donneront le courage d'affronter son absence .
Amicalement
Christine et Charly

Nous vous adressons toutes nos sincères condoléances et pensons bien à vous tous dans ses douloureux moments
Que Louis repose en paix
Nous vous souhaitons beaucoup de courage et prenons part à votre peine.
Amicalement.
Christophe et FranÇoise
Manuel et Stéphane
Jennyfer et Bruno
Marie-Thérèse Gravallon

Papy,

Je te rends un dernier hommage en repensant à tout ce que tu m’as inspiré.

Merci pour tous ces dimanches aux Clayes à boire nos verres de porto, discuter de politique, ressasser tes souvenirs d’enfance et tes anecdotes :
- « A l’époque les skis mesuraient plus de 2m !!! On partait le vendredi soir, dans les trains couchettes, et avec les skis dans le métro !! »
- « Les jeunes d’aujourd’hui ne savent plus lire une carte !! »
- « Les fautes d’orthographes sont inadmissibles »

Tes expressions :
« Et bah mon vieux… »
« Babielou va »
« A gauche… A droite, En amont… et en AVAL »

Les souvenirs des ces longs week-ends de NOEL attendre votre arrivée à Malmont sous la neige. Et pouvoir enfin monter dans « la voiture qui parle ». Et aller se coucher en sachant que nos grands-parents étaient dans la maison avec nous.

Je garderai en souvenir tes yeux et tes sourires devant mon petit Malo que tu as pu porter.

Tu seras et resteras à jamais mon papy skieur à l’attitude exigeante.

Arthur

Monsieur Dulac,
Je garderai en moi tous les souvenirs de ces bons moments passés avec vous deux. Nous étions, malgré la distance, proches et complices.
Madame Dulac
Je m'adresse à vous pour vous présenter mes plus sincères condoléances et vous apporter tout mon soutien. Il va vous falloir affronter de durs moments mais vous êtes bien entourée et épaulée. Gardez force et courage.
Nicole Bachelet

En plus d’avoir été un père et un grand-père, tu as aussi été notre arrière-grand-père.
D’abord Malo, qui a eu la chance de te connaître, suivi d’Alba et d’Ambre.
Moi, Adonis, je n’aurai jamais l’occasion de te rencontrer, mais ma famille m’a beaucoup parlé de toi.
On m’a parlé de ta prestance, de ton autorité naturelle et de ton rire joyeux.
On m’a parlé de tes blagues, et de ton sacré caractère !
On m’a parlé de ta passion pour les jeux de cartes.
Je marche déjà à tes côtés quand je vais à Bandol, dans le petit village des Bougainvilliers.
Je joue mes premières parties de pétanque, j’apprécie les couleurs des oliviers et la mer qui s’étend depuis la petite chambre.
Je sais qu’un petit morceau de toi se cache partout là-bas.
Je t’embrasse, où que tu sois.

Papy,

Tu es parti, mais en moi demeurent ces Noëls pleins de chaleur que nous partagions. Cette joie immense qui accompagnait les premiers jours de grand froid, en sachant que vous vous apprêtiez à passer la semaine chez nous. Je retiens l’ivresse de reconnaître ta voiture ensevelie sous la neige devant la maison, et ton obsession de la déneiger tous les matins. La joie de partager ces repas de fête interminables, où tu comptais inlassablement tes histoires et tes blagues fétiches. Ces balades en famille qui transformaient les paysages familiers en une nouvelle aventure. Je retiens tout simplement votre présence à nos cotés, qui rendait cette semaine tellement magique et singulière.
Je me souviens de ces moments, et de tellement d’autres, empreints de ta présence, qui m’accompagneront pour toujours.

Thanaïs

Pour mon cher Papy Louis,

Afin d’honorer sa mémoire comme il se doit, je souhaite partager avec vous quelques souvenirs qui ont marqué mon enfance.

Tous les mercredis, je passais la journée chez Papy et Mamie, puisque je n’avais pas école.
Avec Mamie, on faisait souvent de la pâtisserie, pour avoir de quoi goûter à l’heure du quatre-heures.
Et à 16h pile, Papy attendait toujours avec impatience la première fournée de gâteaux !

Avec lui, je regardais beaucoup de films et la télévision, mais ce que je préférais par-dessus tout, c’était nos balades en forêt.
On allait souvent jusqu’au mur d’escalade, au milieu des bois.
J’adorais grimper dessus, en me prenant pour un petit chimpanzé !

Papy me faisait aussi faire du vélo, du coloriage, et on aimait feuilleter des magazines ensemble.
Ce que j’aimais le plus chez lui, c’était son « sens de l’humour ».
Il pouvait répéter la même blague trente fois, et cela me faisait toujours rigoler.
Je me souviens notamment de celle des coquillettes : à chaque repas, il me demandait de toutes les compter avant de pouvoir les manger !

Merci pour tous les anniversaires et les Noëls que nous avons partagés.
Ce sont des moments précieux, gravés à jamais dans ma mémoire.

Je le remercie d’avoir été un grand-père aimant et attentionné.
Que sa mémoire repose en paix.

Je t’aime, Papy. ❤️

Justine.